SNCF

Démarré par Pit, 10 Juillet 2015 à 22:26

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manu

Waters pour le fond, Gilmour pour la forme (Wright aussi) et hop ça sonne du feux de Dieu. Mais pris indépendamment, ils ont tous tellement de manques qu'il manque quelque chose justement.

Après il y a des morceaux qui font exception mais comme dit Neph ça reste anecdotique sur l'ensemble de leurs carrières.

@baroki J'aime beaucoup le premier Gilmour aussi.
« You can never get enough of what you don't need to make you happy. » — Eric Hoffer
« Désolée mais la trilogie de Nico... A côté, Berlin c'est Disneyland. » — E.G.

Nephtys

oui voilà, ils sont très complémentaires ; Waters a des idées, des concepts, mais au niveau esthétique de la musique et tout, c'est moins sensas. Ils fonctionnaient clairement bien ensemble.
"Nous ? Bah on est des moutons. Mais pas des moutons cons ! Des moutons intelligents. On suit parce qu'on veut pas s'prendre la tête, tu vois ?" ADFD

Blue-Berry

Ben oui. Les concepts et les textes, c'était clairement Waters, tandis que la musique, c'était Gilmour et Wright, même si de temps à autres ils avaient d'heureuses fulgurances textuelles (Childhood'end par exemple), alors que Waters avait aussi la main heureuse en compo (Set The Controls*). Et ce qui faisait tout tenir ensemble, c'était le ciment du Mason. Tout ça relevait d'une alchimie très particulière. Et l'ensemble était supérieur à la somme des parties.

* À propos de celle-ci, je n'arrive toujours pas à concevoir que ce cher Roger pouvait composer à la même époque le sublime Set the Controls et l'abracadabrantesque "Take Up Thy Stethoscope..."... Nobody's perfect...
I would have liked to be this
jewish
canadian
poet
who sings Love and its meanders so well.
But by this time I would be dead,
And I would never have
met,
known,
and, above all, loved
You.
So too bad if I'm not this
jewish,
canadian,
poet
It's all right.

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