The Smiths

Démarré par AnimalsFan, 26 Janvier 2009 à 02:06

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AnimalsFan

Parmi les groupes phare des 80's, l'association (Morrissey & Marr) est remarquable, toute la discographie est de qualité !
Le plus connue de leur album reste sans aucun doute « The Queen is dead »  avec Alain Delon dans « L'insoumis » pour pochette.
A noter, que parmi les productions de cette période aux synthétiseurs omni présent et au son particulièrement « Bontempi » ; The Smiths fait figure d'ovni, formation toute simple, voix/guitare/basse/batterie.
Peu de concerts en dehors de la perfide Albion, USA compris.
Les seules représentations du groupe sur notre territoire eurent lieu en 1984, respectivement à Paris et à Versailles.
Marr en a marre et se barre en 1988 pour une carrière solo. Il  travail notamment avec Talking Heads, The The, Bryan Ferry, Jane Birkin, Beck ou Oasis. Comble de l'ironie, l'acoustique qui lui plaisait tant dans leur aventure ne lui permet pas d'explorer l'électronique qu'il affectionne et cherche à développer !
Quand à Morrissey, il suit son bonhomme de chemin...


The Smiths (1984)



Hatful of hollow (1984)

http://www.deezer.com/track/2480643
Version live de Handsome Devil (1983). Album Hand in the glove


Meat is murder (1985)

http://www.deezer.com/track/17847


The world won't listen (1986)

http://www.deezer.com/track/2480594


The Queen is dead (1986)



"Strangeways, here we come" (1987) Sombre, très sombre... :pleure:


http://www.youtube.com/watch?v=XPWhNCwW18E#noexternalembed


Morrissey
Interesting drug (1989)
Cinq pépites sur ce mini LP regroupant des singles de ses débuts solo.

http://www.deezer.com/track/1093536
Hélas, beaucoup des très belles ballades que je souhaitais vous faire partager, ne sont ni sur Deezer ni sur Youtube.
De l'humaine condition on ne guérit pas. Nietzsche

roger keith

#1
J'ai acquis il y a quelques temps déjà un best of du groupe et j'ai adoré tout de suite. Y a un truc dans ce groupe,... peut-être la voix de Morrissey. Ma préférée est et restera This Charming Man  :amour:. Il faudrait que je m'attarde un peu sur Morrissey en solo.
Un groupe à découvrir, dans la même veine (et dans le même sang) est The Organ, The Smiths version féminin. Tout pareil mais différement et bien quand même.

manu

Citation de: AnimalsFan le 26 Janvier 2009 à 02:06
Le plus connue de leur album reste sans aucun doute « The Queen is dead »  avec Alain Delon dans « L'insoumis » pour pochette.

Oh My God :hein: The Queen is Dead est un de mes disques cultes et je n'avais jamais remarqué que c'était Delon sur la pochette :fou:

J'suis en train d'écouter tous les extraits que tu as mis. Je ne connais pas très bien le groupe, alors merci !
« You can never get enough of what you don't need to make you happy. » — Eric Hoffer
« Désolée mais la trilogie de Nico... A côté, Berlin c'est Disneyland. » — E.G.

AnimalsFan

#3
Oui et aussi Jean Marais sur la pochette de « The charming man »  qu'affectionne tant Roger Keith  :amour:

 

http://www.deezer.com/track/2480637

Morrissey et le cinéma français

Le chanteur britannique a toujours porté la France, et en particulier le cinéma français, dans son cœur. Ainsi, dès la période The Smiths, alors que c'est lui-même qui réalise les pochettes des albums du groupe, Morrissey choisit une image de Jean Marais dans le film Orphée (1950) pour illustrer le 45-tours This Charming Man et celle d'Alain Delon dans L'Insoumis (1965) en couverture de l'album The Queen is Dead.

Dans son dernier album, la chanson « At Last I Am Born » contient ce couplet: « Look at me now / from difficult child / to spectral hand / to Claude Brasseur / blah, blah, blah, blah... » Un hommage à l'acteur que Morrissey avait découvert dans Bande à part, un film de Jean-Luc Godard sorti en 1964.

Lors du concert donné à l'Olympia le 11 avril 2006, la scène était notamment décorée d'une reproduction grand format d'une photographie de Sacha Distel, Morrissey citant ce soir-là Anna Karina, Sami Frey, Brigitte Bardot, mais aussi Serge Gainsbourg et Françoise Hardy parmi ses artistes préférés. Enfin, à l'été 2006, au festival Rock en Seine, à Paris, le chanteur s'est présenté au public comme étant « Jean Gabin ».
De l'humaine condition on ne guérit pas. Nietzsche