Humour Noir

Démarré par RickFloyd, 26 Décembre 2007 à 20:47

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ZeZapatiste

#120
12 Février 2009 à 10:38
Si vous saviez le nombre de voitures & camions sur le bas-côté ce matin, avec juste 5 cm de neige. Remarquez, je faisais pas trop le malin, avec mes pneus pas-neige sous-gonflés. D'ailleurs, 2 ou 3 fois c'était tendu  :sifflote:
Let the sun shine in

Narrow Way

#122
12 Février 2009 à 14:32
Comme suicide c'est réussi (et véridique)

Accident à un passage à niveau dans l'Aude: un mort
AP | 11.02.2009 | 05:22

Une double collision entre une voiture et deux trains a fait un mort mardi soir, peu après 19h, à un passage à niveau de Bram, dans l'Aude (Languedoc-Roussillon), a-t-on appris auprès de la SNCF Midi-Pyrénées et des sapeurs-pompiers de Bram.

La voiture se trouvait sur la voie ferrée, lorsqu'un premier train, le Corail Téoz Nice-Bordeaux, est arrivé. La voiture a de nouveau été percutée par le TER Toulouse-Carcassonne, qui roulait en sens inverse à 150km/h. La voiture s'est alors retrouvée projetée sous la motrice du Téoz.

Dans le Téoz se trouvaient 114 passagers, dans le TER, 200. Tous ont été pris en charge par la SCNF, certains durement choqués mais aucun n'étant blessé. Ceux du TER ont été emmenés en bus jusqu'à Carcassonne. Les autres ont été acheminés à Castelnaudary.

On ignorait toujours, tôt mercredi matin, combien de personnes se trouvait dans le véhicule, une victime étant d'ores et déjà visible, a-t-on appris auprès des sapeurs-pompiers de Bram. Un train de levage est venu de Toulouse, pour dégager le véhicule. Vers 2h30 du matin, mercredi, la voiture avait été désincarcérée.

Le trafic SNCF était toujours interrompu tôt mercredi matin à partir de Narbonne.

On ignorait encore la raison de la présence de la voiture sur la voie ferrée. L'accident s'est produit sur le passage à niveau qui croise la départementale 33, à l'entrée nord-est de la petite commune, l'un des quatre que compte Bram. A
"I like to think oysters transcend national bareers."

comfortably_numb

#123
12 Février 2009 à 16:38
Coté humour noir, faut pas aller chercher bien loin, suffit juste de regarder l accroche de Manu, concenant l eau potable et les creve la faim.  :lol:
Moi aussi je suis en édition limitée et numérotée....y'à écrit 39 sur la semelle de mes godasses!!

comfortably_numb

#124
12 Février 2009 à 16:42
C'est un gars qui en revenant de la chasse de la jungle dit à son ami :
- J'ai tué 10 éléphants, 11 serpents, 7 lions, 3 panthères et 9 pânou-pânou. Son ami lui demande c'est quoi ça des pânou-pânou ?
- Je sais pas trop, il y avait dans le fond de la forêt des cries qui faisaient : "PÂNOU-PÂNOU !!!"

Moi aussi je suis en édition limitée et numérotée....y'à écrit 39 sur la semelle de mes godasses!!

comfortably_numb

#125
12 Février 2009 à 16:44
Un jour, un petit garçon de douze ans rentre dans une maison close en tenant dans ses bras une grenouille morte. Il s'adresse à la mère maquerelle :
- Je veux une de vos filles, et il pose un billet de 50 euros sur le comptoir.
La tenancière le regarde de haut en bas et lui dit :
- Tu ne penses pas que tu es un peu trop jeune pour ça ?
Alors le garçon ressort un autre billet de 50 euros de sa poche, et reprend :
- Je veux une de vos filles, Maintenant !
La tenancière lui répond :
- Très bien, prends un siège et patiente un peu, elle sera là dans une vingtaine de minutes
Mais le jeune garçon reprend alors 50 euros dans sa poche, les pose sur le comptoir et demande :
- Elle devra être en pleine crise d'herpès.
La mère maquerelle est interloquée et lui demande pourquoi, mais le jeune garçon ressort encore 50 euros et insiste :
- En pleine crise d'herpès !
Alors la maquerelle répond :
- D'accord. Assieds-toi, ça ne prendra que 10 minutes.
10 minutes plus tard, une femme arrive, ils montent tous les deux et le petit y va de sa partie de rentre dedans... Lorsqu'il descend et repasse devant la tenancière, celle-ci lui demande :
- Allez, maintenant tu peux me le dire : Pourquoi voulais-tu une fille en pleine crise d'herpès ?
Le garçon répond :
- Maintenant, je vais rentrer chez moi et je baiserai la baby sitter. Ce soir, papa reconduira la baby-sitter chez elle et la baisera dans la voiture. Quand papa rentrera, lui et maman feront l'amour... Et demain matin, quand papa partira au boulot, maman baisera avec le laitier... Et là j'aurai enfin le salopard qui a roulé sur ma grenouille !

Moi aussi je suis en édition limitée et numérotée....y'à écrit 39 sur la semelle de mes godasses!!

comfortably_numb

#126
12 Février 2009 à 17:06
 - Guillaume enlève tes doigts du nez de grand-père !
- Guillaume, laisse grand-père tranquille !!
- Guillaume, dernier avertissement, arrête ou je referme le cercueil.

Moi aussi je suis en édition limitée et numérotée....y'à écrit 39 sur la semelle de mes godasses!!

roger keith

#127
12 Février 2009 à 17:23
Pas mal CN  XD. Narrow j'en ai entendu parler de cette histoire.

Narrow Way

#128
12 Février 2009 à 19:01
Erka, par ici, tout le monde en parle... le pire est qu'on ne sait toujours pas s'il y a eu une ou plusieurs personnes à l'intérieur... Et la Dépêche du Midi parle d'une C3 alors qu'on reconnait bien une C8... Coagulant soit, elle était immatriculée 82.


Comfortably, la dernière je la connaissais et l'adore. Les autres sont pas mal du tout!!!!
"I like to think oysters transcend national bareers."

Blue-Berry

#129
13 Février 2009 à 15:18
Citation de: Mnzaou le 12 Février 2009 à 09:14
Au fait Blub, dans la navigation fluviale, "la bête aux grandes oreilles" est elle maudite comme en mer ?
Non. Du moins plus maintenant. Elle a dû l'être dans les marines anciennes (Loire notamment) quand les équipages étaient uniquement masculins (bien qu'on ait vu des équipages uniquement féminins aussi. Mais mixtes, non). Une explication psychanalytico-prisunic  avance que c'est parce que le lapin est un symbole féminin (voir son nom latin Cunnus), et qu'une femme à bord, ça fout le bordel. À présent, et depuis un bon gros siècle, le bateau est occupé par la famille entière qui vit à bord, donc l'élément féminin y est plus qu'indispensable. Et la superstition du lapin tombe d'elle-même.
I would have liked to be this
jewish
canadian
poet
who sings Love and its meanders so well.
But by this time I would be dead,
And I would never have
met,
known,
and, above all, loved
You.
So too bad if I'm not this
jewish,
canadian,
poet
It's all right.

Narrow Way

#130
13 Février 2009 à 18:30
Citation de: Blue-Berry le 13 Février 2009 à 15:18
... Et la superstition du lapin tombe d'elle-même.

Justement c'est con  :D
"I like to think oysters transcend national bareers."

On the turning away

#131
08 Mars 2009 à 01:44
"_Papa, caca!
_Tais-toi!
_Papa, caca!
_Ferme-là s'il te plaît!
_Papa, caca! Papa, caca! Papa, caca!!!!
_Bon, d'accord t'as gagné, je me retire...
_"Ce n'est pas parce que je suis paranoïaque qu'ils ne sont pas tous après moi !" (Desproges)
_"Le rire n'est jamais gratuit : l'homme donne à pleurer mais prête à rire."

On the turning away

#132
08 Mars 2009 à 01:52
_Que commande Dutroux quand il rentre dans un bar?







Réponse: un petit blanc cul sec!
_"Ce n'est pas parce que je suis paranoïaque qu'ils ne sont pas tous après moi !" (Desproges)
_"Le rire n'est jamais gratuit : l'homme donne à pleurer mais prête à rire."

On the turning away

#133
08 Mars 2009 à 02:10
Un avion s'est écrasé sur une île déserte et seuls le pilote, un steward et une hôtesse sont rescapés. Par chance la nourriture est abondante, tout comme l'eau potable d'une grande source à proximité de leur campement. Mais au bout de quelques jours, un autre besoin naturel se fait sentir chez les deux hommes, qui décident de parler de ce petit problème à leur compagne d'infortune. Celle-ci, qui commence également à ressentir le même manque, accepte. Tous trouvent un compromis: le steward passera les jours pairs et le pilote les jours impairs.
Tout se passe pour le mieux jusqu'au jour où l'hôtesse meurt après être tombée d'une falaise à proximité du bivouac. Les deux hommes se retrouvent bien embêtés et s'abstiennent quelques jours. Mais ces semaines de débauche sur cette île tropicale les ont habitués à se vider régulièrement, et de nouveau le manque se fait sentir...
Le steward décide d'aborder la question:
"_Tu sais, je commence à me sentir un peu... plein...
_Ouais je sais, moi aussi...
_Bon, qu'est-ce qu'on fait?
_Bah... Je crois qu'on pense tous les deux à la même chose...
_Ouais j'y ai pensé aussi...
_Alors on va continuer comme avant: tu passera les jours pairs et moi les jours impairs...
_Ca marche..."
Ils font donc ainsi leur affaire mais la lassitude les gagne au bout de deux semaines.
Le steward:
"_Ben, ça me gêne de te dire ça, tu sais, mais... je ne prend plus aucun plaisir à faire ça...
_Pour être tout à fait franc, moi aussi, mais j'osais pas t'en parler.
_Alors, qu'est-ce qu'on fait, cette fois?
_Je sais pas, moi... On a qu'à l'enterrer!"
_"Ce n'est pas parce que je suis paranoïaque qu'ils ne sont pas tous après moi !" (Desproges)
_"Le rire n'est jamais gratuit : l'homme donne à pleurer mais prête à rire."

On the turning away

#134
08 Mars 2009 à 02:13
Nephtys:"_Eh, Blue? T'as dit à Walm' qu'il allait mourir dans trois jours?"
Blue-Berry:"_Ouais, pourquoi?"
Nephtys:"_Tu fais chier, je voulais être la première à lui dire!"
_"Ce n'est pas parce que je suis paranoïaque qu'ils ne sont pas tous après moi !" (Desproges)
_"Le rire n'est jamais gratuit : l'homme donne à pleurer mais prête à rire."

Blue-Berry

#135
09 Mars 2009 à 17:22
Erreur : je n'ai pas pu dire à Walm' qu'il va mourir dans trois jours.

Car il est déjà mort.

Et personne ne le lui a dit.
I would have liked to be this
jewish
canadian
poet
who sings Love and its meanders so well.
But by this time I would be dead,
And I would never have
met,
known,
and, above all, loved
You.
So too bad if I'm not this
jewish,
canadian,
poet
It's all right.

Nephtys

#136
09 Mars 2009 à 19:57
j'ai pas compris la blague :/
"Nous ? Bah on est des moutons. Mais pas des moutons cons ! Des moutons intelligents. On suit parce qu'on veut pas s'prendre la tête, tu vois ?" ADFD

Mnzaou

#137
09 Mars 2009 à 21:56
C'est une blonde belge (oui les deux) qui s'apprête à sortir de chez son médecin et qui, au dernier moment lui demande :
- Je ne me souviens plus déjà : Vous m'avez dit "Sagittaire" ou "Capricorne" ?
- Cancer, Madame, cancer ...
Bonzi Bonzi. Niam diboutou sa ka moudou matsi (Nzille)

tom

#138
10 Mars 2009 à 20:11
Citation de: On the turning away le 08 Mars 2009 à 02:10
Un avion s'est écrasé sur une île déserte et seuls le pilote, un steward et une hôtesse sont rescapés. Par chance la nourriture est abondante, tout comme l'eau potable d'une grande source à proximité de leur campement. Mais au bout de quelques jours, un autre besoin naturel se fait sentir chez les deux hommes, qui décident de parler de ce petit problème à leur compagne d'infortune. Celle-ci, qui commence également à ressentir le même manque, accepte. Tous trouvent un compromis: le steward passera les jours pairs et le pilote les jours impairs.
Tout se passe pour le mieux jusqu'au jour où l'hôtesse meurt après être tombée d'une falaise à proximité du bivouac. Les deux hommes se retrouvent bien embêtés et s'abstiennent quelques jours. Mais ces semaines de débauche sur cette île tropicale les ont habitués à se vider régulièrement, et de nouveau le manque se fait sentir...
Le steward décide d'aborder la question:
"_Tu sais, je commence à me sentir un peu... plein...
_Ouais je sais, moi aussi...
_Bon, qu'est-ce qu'on fait?
_Bah... Je crois qu'on pense tous les deux à la même chose...
_Ouais j'y ai pensé aussi...
_Alors on va continuer comme avant: tu passera les jours pairs et moi les jours impairs...
_Ca marche..."
Ils font donc ainsi leur affaire mais la lassitude les gagne au bout de deux semaines.
Le steward:
"_Ben, ça me gêne de te dire ça, tu sais, mais... je ne prend plus aucun plaisir à faire ça...
_Pour être tout à fait franc, moi aussi, mais j'osais pas t'en parler.
_Alors, qu'est-ce qu'on fait, cette fois?
_Je sais pas, moi... On a qu'à l'enterrer!"

juste enorme !!!!!!

Blue-Berry

#139
11 Mars 2009 à 12:44
Un humour qu'on suit à la trash...
I would have liked to be this
jewish
canadian
poet
who sings Love and its meanders so well.
But by this time I would be dead,
And I would never have
met,
known,
and, above all, loved
You.
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It's all right.
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