A part ça...

Démarré par jojo, 10 Janvier 2008 à 11:04

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Narrow Way

Il y a déjà le topic "usons de mots" pas mal déjanté :sifflote:
"I like to think oysters transcend national bareers."

jojo

ouaip d'accord pour le post le plus inutile  ect...
mais appolinaire ? tu fumes quoi en ce moment ?
"Lean out your window, golden hair
I heard you singing in the midnight air "

Narrow Way

C'est une manière comme une autre de se défouler sur le verbe, je ne vois pas ce que celà a d'inutile.
"I like to think oysters transcend national bareers."

jojo

Bien dit Narrow Way, depressuriser un peu le crâne ne peu etre que salutaire pour les êtres stressés que nous sommes , que se soit avec le verbe oral ou ecrit, moi j'en use de cette thérapie et ne cesse d'entendre ça et là mais tu pourrai faire attention à la syntaxe et à l'ortographe au moins par respect pour ceux qui te lirons ect ect... qu'ils passe leur chemin et n'usent pas trop leur yeux alors sur mes mots crochus et urticants je ne les force pas à me lire.
:enfoire:
bon là j'y suis allé un peu fort alors je precise je ne me prend pas pour ce que je ne suis pas et j'aime apprendre en lisant les autres qui ne represente pas (que) l'enfer à mes yeux.
:ange:
"Lean out your window, golden hair
I heard you singing in the midnight air "

Narrow Way

Bon ça va alors, je vois que je ne suis pas le seul malade mental de ce forum, ça fait plaisir de voir que j'emploie des mots simples, ça prouve que je n'ai pas le cortex tendu, et en plus j'aime l'orthographe, (bien que je sois humain, donc imparfait, c'est pour ça qu'à moi aussi il m'arrive de faire des fautes)

Ite missa est
"I like to think oysters transcend national bareers."

RickFloyd

Citation de: jojoouaip d'accord pour le post le plus inutile  ect...
"ect" comme... ectétéra? :lol:
J'aime bien ton texte, mais la prochaine fois introduis-le, fais quelque chose au lieu de passer directement à son écriture... Explique le pourquoi du comment, afin qu'on comprenne le but de ta démarche. Là on croit que ton message n'a aucune origine.
« Ňous trouvoήs beau ce qui ήous est assez iлdifférent pour ʼnous permettre de voir ce que лous vouloήs à la place. ». - Boris Viaň ^^
"Elvis a libéré les corps alors que Dylan a libéré les esprits..." - Bruce Springsteen

jojo

etc etc...(oui bon d'accord)
et oui mais bon cette discussion n'est pas serieuse enfin ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Etc.
mais bon...hein
"Lean out your window, golden hair
I heard you singing in the midnight air "

Nephtys

Je suis allée me baigner dans la saône avec ma jument tout a l'heure.
Et je me suis foulée le poignet hier alors j'ai mal :D
"Nous ? Bah on est des moutons. Mais pas des moutons cons ! Des moutons intelligents. On suit parce qu'on veut pas s'prendre la tête, tu vois ?" ADFD

RickFloyd

« Ňous trouvoήs beau ce qui ήous est assez iлdifférent pour ʼnous permettre de voir ce que лous vouloήs à la place. ». - Boris Viaň ^^
"Elvis a libéré les corps alors que Dylan a libéré les esprits..." - Bruce Springsteen

Narrow Way

A part ça moi ça va.
"I like to think oysters transcend national bareers."

Nephtys

ca me fait plaisir de te l'entendre ( ou plutot de te voir le ) dire, Narrow, sans pour autant me permettre de dire que ca faisait longtemps...!
"Nous ? Bah on est des moutons. Mais pas des moutons cons ! Des moutons intelligents. On suit parce qu'on veut pas s'prendre la tête, tu vois ?" ADFD

Narrow Way

Mais je t'en prie Nephtys :)
"I like to think oysters transcend national bareers."

jojo

je me joint à vous dans ce concert de bonne intentions et de savoir vivre et puis si je me trompe tantpis bonne journée à tous
:D
"Lean out your window, golden hair
I heard you singing in the midnight air "

Narrow Way

Bah, tu ne te trompes pas de trop, l'ambiance parait détendue de ce côté-ci :)
"I like to think oysters transcend national bareers."

Nephtys

Tant que ça traite ( des vaches ) de la pluie et du beau temps, bien sur que c'est détendu.

a partir du moment ou on revient au sujet initial du forum en lui meme : Pink Floyd...

Ca Paul et Mick. cela va de soi ^^
"Nous ? Bah on est des moutons. Mais pas des moutons cons ! Des moutons intelligents. On suit parce qu'on veut pas s'prendre la tête, tu vois ?" ADFD

Narrow Way

En effet, on n'est pas là pour Paul et Mickey, ni pour personne d'autre d'ailleurs...
"I like to think oysters transcend national bareers."

jojo

Nue et sale comme à son habitude

elle déambule sourde aux cris du monde

à ses souffrances qui ne la touche plus

vraiment elle en a soupé de toute cette crasse qui lui a collé aux tripes

cette misere de partout cette violence qui se love au bras des plus faibles des plus fous

comme jamais la tendresse n'est en nous, elle libere les pulsions comme un acte barbare.

Son bruit est un ravissement à nos oreilles et son attente fait de toi

une miserable blottit contre ton reve, attendant l'avenement toujours dupée par les mirages qui t'apporte un bref instant la sensualité sur la peau comme une concrete espérance.

Qui? A chaque fopis claque la porte en quittant l'hémisphere

et te fait dire que cette fois

est bien la derniere?

Mais la reine c'est toi lumineuse tendue et franche comme on bat la

moisson.Tu fend la vie des lames de ta fureure et te dit parfois qu'il serait

plus utile de détruire que de construire histoire, de mettre un terme plus

rapidement encore que ce n'est le cas acctuellement à ce miserable

conglomérat d'existence tristes et ameres.

Tout ce tapage cette torpeure lente et infernale qui  nous tourne autour avec cet air de superiorité permanent et ces relents d'hypocrises mal dissimulés me font dire que j'aimais cette facon là de vivre sa vie, si je ne suis pas emballé par le fait de bruler mes veines et de passer mon esprit dans la trancheuse en alu, c'est pour cette raison là.

Ma vie à tenter de faire taire cet voix qui me dit que tout ce passera très mal et dans la douleur.

Toujours j'ai su ces choses la fatalité n'aime pas les compromissions et c'est dans la lucidité que je trouve mon seul refuge. Vous aussi vous broyé vos idées de mort dans les habitudes et les occupations du jours sans toutefois nier que les derniers instants sont autant de preuves de la vacuité de l'existence.

La valeur intrinsèque de l'énergie qui me fait dire cette vie est la mienne et je tient à la conserver aupres de moi aupres de mon corp, la couche, l'instinct, toujours la vie apres balance tout les quart d'heure en moi cette phrase vide:

cette sensation de vide qui s'etend et autour comme le son du sépulcre que retient pour des jours encore une faucheuse entêtée à ne pas en oublier un seul.

Je suis de ceux que la mort effraye si bien que dans les excès seul, je trouve le repos d'un abrutissement total et apaise la malveillance en ensevelissant au profond la rechute et la haine car tenir à cet endroit est le signe d'une force qu'il faut se reconnaitre.

Donner du pessimisme à demi-mot n'arrange que les gens superficiel

et s'adonner à de longs voyages introspectifs  ne peut que reveler une

satisfaction personnel à faire résonner son égo dans le vide de sa propre

résonnance.Peu utile en effet d'etaler de tout son long sa misere sur la

table autant prendre une chaise tourner le dos un instant au tumulte et
 
remplire sa gorge d'un air frais et profiter un instant de cette vie miracle

dans nos veinnes qui donne à tout nos sens l'interet qu'ils meritent.

Cet état nous fais apprecier le bonheur insolite car couplé à l'amertume de la conscience d'etre mort à moitié et vivant encore...

Gonfle tes poumons aux vents marins et aspire par les veinnes le sang de l'amour !

Fortifis tes envies et noie ton amertume pour demain regretter ce moment eternel.

Tu es vivant et fort comme un souffle par là viennent le courrou et l'horreur empresse toi d'aller ton chemin sans maudir ton avenir
elle dechire le ciel,

annonce la pluie,

libere l'esprit et donne le change.

Peu-etre libérée et demain fertile ?

A quoi bon lui barrer la route, de plus les noirs chagrins viendront bien assez vite

et la demeure tient face au cyclones

nombreux et puissants

l'ordinnateur avale quantité de matiere et fournit à ses amis la quantité approprié de solution

et c'est sans amertume qu'il accomplit sa tâche

emplit de l'amour du sommelier elle finira sa course

applatie fine et meurtrie dans le lit de la riviere d'a coté

peuplé de créatures et fraiche été comme hiver.

Déposée ce matin et engourdie , lasse et vide

son avenir peu glorieux flirt sans état d'âme avec toute sortes de pensées

toutes plus detestables les unes que les autres.

Retrouver un semblant d'innocence

en singeant les figures en vues de cet époque

ne lui apparait pas etre utile

de plus s'humilier d'avantage aurait il un sens apres toute cette misere subie?

Plus de doute il faut creer vendre et multiplier,

grandir, engraisser, se devellopé acheté et capitaliser ?

La figure de la revolution à changé, elle ne fait plus bloque de front et sans avenir

elle se couche dans le systeme et ronge ses rouages de l'interieur...

Ce qui a pour effet de rendre moins grandiloquant ses ouvres et plus modeste son attaque.

Elle se cache

et de ce paravant donne à voir ce qu'elle est
plus aucun reves à l'horizon et le souvenir d'Odessa est loin maintenant

dansant quelque fois le soir avec sur le corp d'autre habits d'autre façon d'exister et une facheuse tendance

à asspirer tout ce qui de près ou de loin l'approche.

Demain au bois j'irai planter le panneau indicateur

saler la route et dégager ton chemin par la lanterne voisine, on dansera ensemble le long du boulevard.

Amoureux fou se becottant comme deux oiseaux de proies fragiles et lestes comme des poissons frivoles.

La lumiere dans tes cheveux,

mon oeil s'éblouit il vibre et touche le noir,

moi ou vous que la difference parfois est peu importante entre le jour et la nuit.

Demain aller au sommet et detester l'autre chemin
lui se trouvait là comme le train de passage,

marquant l'arret,

traçant sa route,

menagant ses effets.

Gardant sa stature et feignant l'effroi quand les questions se faisaient plus precise

plus légitime aussi

mais l'histoire ne se souviendra pas de son pas de danse ironique et maladroit

par le transfuge

il deviendrons

par la lumiere ils changerons leur carapace d'acier disloquant son armure pour rendre à la chair sa nudité humaine comme un char de combat accoucherai avant terme d'un fetus animal visqueux et bleme.

Saluons le passage de l'etre de vie lumineux
l'arraignée facilement enleve son voile.

Partir vers le sud regagner son estime

carresser la chaleur les phalanges immobiles.

Avec à son crit la violence d'un coup porté longue distance comme les flux et reflux d'equinoxe

Larvée dans son incertitude la proie (plus qu'en proie au doute ) sent en elle se dissoudre la vie

par le liquide injecté

et le festin de celle qui deja tisse une autre toile
le chant des morts est court.

L'amour ne dure,

le souffle est limité dans les efforts.

Le calme et le silence sont parfois rompu

par l'aroce souffrance.

la vie comme un voyage ?

voyage qui ne dure

que le temps du souffle et de la circulation du sang

la mort qui dure ?

bien plus sûre que la pensée ou les actes

l'etat de mort demeure

outre-passe la mesure

car dure, toujours dure...

Passés ces formules de politesses, je vous prie de trouver ici le fruit de

mon amertume que je partage volontiers avec les quelques âmes
 
invaincues qui verraient poindre au loin comme une source de lumiere.

Qui comme moi n'on pas le courage d'entrevoir une amélioration anticipant

deja sur l'eventuelle dégout qui suit la désillusion, qui suis la déception de
 
ne pas déceller ce qui pourtant semblait être réalité.

 Favoriser le tumulte,

engendrer le cahos

finaliser la dechéance

visualiser l'avarie

et donner le change.

Se soumettre au plus grand nombre

agiter son scalpel sous la lumiere crue de la table

voir s'eloigner son fruit et terminer son labeur

maudire la plus insignifiante source de plaisir

et donner son âme a une fleur bleue tatouée.

Allons nous partir?

Tracer son chemin, sans dire aurevoir.
L'attente, le respect, la douleur, la vie, le crit, la trompette, le son, le noir, la nuit.

Elle danse péniblement sur ce qui lui reste de dignité.

Puisse le tonnerre gronder devant sa porte pour lui annonçer ma venue prochaine !
"Lean out your window, golden hair
I heard you singing in the midnight air "

Nephtys

j'ai la flemme de lire mais ce doit etre probablement interessant.

Narrow :c'est mickey qui à gagné.
"Nous ? Bah on est des moutons. Mais pas des moutons cons ! Des moutons intelligents. On suit parce qu'on veut pas s'prendre la tête, tu vois ?" ADFD

jojo

interessant en effet il est bon ce petit...
mais il y a un souci dans les voiles, cet escrot est là devant nous à pavoiser et je l'ai vu lui se jeter des fleurs de loin certe, mais tout de meme es-ce ainsi que l'on a elevé nos enfants, bon pour avoir de 50 euros dans la poche j'irai chez le disquaire et acheterai, More the soundtrack, et la bande original du film "la vallée" (le film est une daube) et sacerful et et plein d'autre et quand j'aurai le temps je comparerai le son des vinyls et des c.d et je regarderai passer les vaches, voila la vérité vrai sur cet escrot de jojo
pour la peine j'en rajoute une (double) couche voila



Les envolées répétées des volatilles on eut raison de ma léthargie profonde.

Mon trouble est reveillée et la menace qui plâne alentour est maintenant palpable materialisé dirai-je comme l'ombre repand la forme des arbres sur les feuilles jaunes et mortes du  termafrost siberien dans lequel ils plongent, perdu dans des remorts éteints, leur godasses souillées pour franchir la frontiere.

Cette chappe de plond que je sens sur mon crane gache mes petits bonheur, mes idées d'évasion, mon esprit de conquete, ma lutte et mon combat.

Cette obstruction consciente que je devine proche entrave les mouvements fragile de ma psyché hésitante à laisser libre cour à ses états minable son indolence finie, sa reflexion pénible.

pas une grande perte donc, mais un manque quand meme

et se formantent dans mon dos le plans de l'inpectrice en chef qui ne souhaite rien de plus que de me voir au fers une journée de plus afin de prendre le large elle et toute sa clique le temps que je croupisse au fond du trou humide.

Mais avec le temps j'ai finit de comprendre ses forfaits qui n'ont plus de secrets pour moi, je devance ses outrages et echappe pour le moment et pour peu que je laisse pas m'envahir une colère profonde qui me verrai conduit enchainné à la crypte. le ronge mon frein et observe pour faire s'evanouir ma ranqune les envolées toujours plus impressionante des pigeons de la cour

elle fait des allé et venue le long du bassin et tente de trouver les mots qui toucheron le mieu, les mains posées sur son bassin elle se cambrait pur entrevoir les poissons...

demain matin à 7h48 l'express l'emportera loin de moi et je n'aurait pas eut le temps de lui dire les choses que depuis quelques jours maintenant je tente de lui souffler

elle se dirige vers le block 115 et demande au matricule 556 448 de lui cirer ses bottes

ce à quoi le jeune gaillard lui administre un soufflet pour toute reponse; elle pousse un cris de douleur et s'elogne de la scene toujours le long du bassin

sa demarche est tonique et ses oeillades féroce son pelage de coutume bleuté et aux reflets d'argent ne laissait rien de luisant à voir et choquait meme par moment tant la difference etait grande avec hier

elle avait mutée son corp en une sorte de relique d'insecte et donnait a voir le pietre spectacle d'une ame en peine ne sachant plus se faire respecter comme avant

sûre que cela ne risquait  pas d'arriver à l'inspectrice en chef qui devennait mefiante et obserait totu de mes fait et gestes

oscultait mes dossiers et fouillait dans ma chambre cherchant a me confondre dans mon projet pour mieu maitriser es actes

comme mors de son intrusion dans mon crane la fois ou je prennai le frais sur "l'alchimique"

mais cette experience m'a servit de lecon et desormais je suis souvent inquiet et toujours sur mes gardes analysant chaque sons qui se produit autour de moi et chaque mouvement des personnages qui travers ma route les champs de blé sont loin maintenant et j'ouvre ma porte sur une air et une ere nouvelle pleine de secrets et de surprises

de bonnes surprises descendues des machines de métale qui battent la cadence a un rythme infernale pour que puisse ruminer leurs douleurs les fils des grands patrons

que puissent jouir du plaisir de posseder toute les couche sociale à chaqun son bitume, propre et son auto

a chaqun son droit d'influer sur la rotation de cette astre qui deja sent le froid venir celui qui succedera le choc la fusion et l'oublit d'une secousse terrible

et avant que ne brulent...les champs;

de l'effroi à l'affront ils se passent le mot et deviennent livide au passage de cet appareil

puissions nous les confronter à ce qu'ils vont devenir avant que dans le fruit le vers ne le pourisse
 
 Car il est temps encore de le confronter à sont immondice

temps de faire reculer la lepre de son esprit enbrhumé

temps encore de repousser de ce cerveau en jachere les dechets naissant et nefaste qui bientot jucheron le sol.

Les detritus perdus dans les herbes hautes temoignerons le peu de civilité dont faisaient preuve les etres qui ont souillé leur lit, saccagé le berceau et renverssé la coupe qui les portaient ensemble de la vallée du Nil à celle des forets dont les crits strident portait à la source le chant simple et puissant de la vie qui jusque là c'etait toujours frayé un chemin

de force ou en douceur le resultat visé etait toujours le meme faire avançer la vie et reculer la mort dans un geste serein empreint de force lente à chaque souffle pousse un peu plus loin la pierre

pierre d'achoppement sur laquelle naquirent ici bas les faibles et les puissants ensemble

ensemble portés vers l'inlassable but qu'ils s'etaient en communs fixé detruir celle par qui il sont venus au monde

de se spasme nouriçier qu'il les a fait passer de néant à eux-meme des fantomes dont la bouche est remplit de parole de mort

et si toi dont le manteau couvre à peine les seins tu viens m'apporter cette parole de mort en echange et de maniere sûre je te donnerai une parole de vie

afin qu'un equilibre meme precaire maintienne nos deux vies serrés et cote à cote le temps d'une danse lasive et pleine de promesses je t'aime

 
 Une suite de nombre sans suite et sans logique amene de temps en temps a ma trop vielle envie un souffle une pureté

elle si nessecaire que je demande pardon et le tien en particulier me ferai renaître sous les traits tirés mais dont la sentence prochaine et clémante annonce qu'il vont absoudre son crime et son peché

la nuit arrive je t'aime petite hirondelle maline perché sur la devanture du drug-store tes yeux miroites tant et si bien que je finit par y voir mon but , ma fin mon parcours ma quete et mon espoir

tu t'avencera et tombera c'est certain dans mes bras n'attendant que mes baisées ma douce pour te ramener à la vie...

REVEIL: claque dans la face, bruit et violence le trepas  pour oreiller, ce n'est que misere et desolation que je retrouve a mon endroit tant de choses que j'ai esperées ne sont desormais plus sur la surface de cette bonne vielle terre coup morceaux de chair autours

cris, on me demande d'avançer , mon matricule je les regarde ebeté

"ton numero ?"

je recule tente de m'echapper loin de tout ce vacarme assourdissant et te retrouver dans mes songes

peut-etre n'es-ce là qu'une epreuve dont il me faut triompher pour te rejoindre sur l'autre face

ou tu m'attends deja ?
 
 Tu seras là dit si mon cou viens à se rompre si ma fin devient mon présent si l'histoire tourne pour moi les page de l'epilogue avant que je ne le veuille

 tu serai là j'espere pour me tenir le bras...

devient le crit plutot que l'impact ou il posera son signale

devient l'etreinte plutot que l'objet serré et la force de la pression plutot que l'éclat qui s'en suis

devient mon verbe et ma sentance avant que l'ombre ne serre ses doigts sur ta carcasse vide et n'eloigne par force la vie de tes poumons

devient la secousse vitale plutot que les mains qui maintiendron la tete sous la surface du liquide et ces mains par qui l'asphixie sera complete

devient le renouveau plutot que l'amertume

et le lendemain de tempete plutot que le cyclone....

 un reptile puissant sort la longueur de son etre dns une lumiere picante tant son eclat est fort

je viens me demander si ses forces m'aderont pour la semis de juin qui est pour tout les autres une façont d'exister

mais il parle maintenant et son regard plonge dans mes pupilles ouvertes

jojo tu divagues les mois chauds sont passés il ne restera plus bientot de tes chimeres que le bruit d'une pierre qui s'echoue dans la mer

le mois de juin est loin il te faut conçevoir un habitacle pour rechauffer ta chair à la bise froide qui s'amenne a grands pas

aux morssures de l'hiver prepare toi amis !

Un lezard vous parle et tout se peuple en vous

tout ces rumeurs se perdent et deviennent un peu vous

Vous comprenez alors que vous n'etes plus seul car les lezards sont vos amis

oui je le dit sans crainte et fort ma voix tone

les lezards sont mes amis !

 l'onde à parcourut la plaine et maintenant s'avance vers moi les bons petits lezards qui affluent sans demander leurs restes

je ne sais plus par quelle phrase commençer

mes amis...

non mes tres chers amis dressés vous sur vos pattes arriere et entonné avec moi la "scabreuse" (chant lezardesque)

ils suivent...c'est une petite victoire pour moi et je m'empresserai de rentrer plus tot chez moi pour prouver à l'inspectrice en chef que c'est possible et que je l'ai vu de mes yeux

qu'aura elle à protester contre ça... quelle preuves lui faudra il de plus ?

Les parois de mes oreilles sont strillées et je suis confus de n'avoir put me presenter à l'heure

la catastrophe est de taille et les élements permettant de definir par ou le bas à blessé sont devenus si ténus qu'il faudra faire appel a des expert fait le point pendant le dejeuné

et vous recontact à l'ennonçé du verdict stop

j'ai mangé et bu stop

ai eut des visions nocturnes en pleins jours stop

vous contact par le present canal stop

ayant atendu la menace du present cortege de vieux debrit le prevenu sera condané sur le champ stop

la sentence est terrible stop

mis

à

l'isolement stop
Le principe du vase qui comunique avec de télluriques forçes forçemment invisible et de mauvaises manieres inclinées est simple...

Du moins en apparence:

-tout d'abord delayer le contenu d'une experience (mauvaise de préference) dans l'habitacle etroit d'une pensée sucidaire qu'il nous arrive tous de feconder parfois au heures sombre du jours sans jamais l'aboutir completement et l'avortons sans un bruit aux premieres lueurs du jours honteux et confut d'avoir un instant perdu le "feu sacré" qui nous a fait dire la veille quelle bonheur que de vivre...

-incorporer ensuite à cette appareil le sentiement d'injustice qui sucçede a la reponse négative que vous envois en travers de la tete votre élue votre pensée et votre amour lorsque vers le millieu du 19iem siecle vous posé un genou à terre pour lui faire votre demande en mariage (c'est un exemple les sentiments d'injustice sont courant et vous en trouverez façilement)

-enfin faite maçerer cette mixture infame le temps d'un sanglot (long et appuyé ) avant de la dissoudre dans la cuisson d'un oubli volontaire, irrémédiable, totale et

définitif

thanks d'exposer le resultat sur votre modem télépatique...

l'evidence est là fixe et demeure devant moi , mes yeux, mes tripes et ma lucidité remonte à la surface comme un bouchon trop longtemp maintenue au fond des eau jaillit du liquide dans un mouvement hargneux

vous etes responsable de mes malheur j'ai perdu mon chien, mes clefs et les femmes vertes

fichtre que la douleur est grande et je pleure seul dans le noir

 mais vous n'aurez pas ce qu'il me reste une pair de... roller flambant neuf

non en fait j'ai horreur de ces engins nul et inutile

je prefere le cyclomoteur a honfleur

non plus le bruit de ces machines me met hors de moi

une auto mobile et motrice?

non plus trop couteux

que reste-il de tout ce qu'il reste?
afin d'eclaircir la situation pour les gens des riveres profondes:

Nous avons à ma gauche le cyclope de corinthe abreuvé de melasse et pret a bondir a tout moment

et de l'autre cote les etoiles luisantes du port qui gavent de leur lumiere les badauds éblouis

frictionner sa chaire avec l'humus des terres perdus

changer son nom pour devenir un roi et fuire sa destinné promise a l'angoisse

et au courroux certain de ceux qui hurle avec les fauves quand l'atmosphere devient tendue et irrespirrable

bien sure la faculté de "l'humain" à oublier ses peurs quand le temps passe et ne voir de la misere de l'autre que le spectre decharné d'une vie qui n'est pas la sienne la reveillant seulement quand la vie, le destin farçeur fait s'abattre sur vous les choses que vous avez vu sur les autres

et oui la roue de notre mere la terre fait se pencher a ses heure la conscience de l'homme a son propre endroit quand les caprices ordonnés de l'attraction terrestre font que vous ployer sous le sort qui vous manipulera a sa guise comme il m'a manipulé l'animal quand mon temp est venu
Plonge ton coeur et tes tripes dans le brasier géant affole ton astre et poursuis la chaire du pas détendu des des fauteurs de trouble

Entends ma voie te dit-je force les images à devenir ton envie

Seul et vide tu entendras alors ceux qui te parlent depuis si longtemps

Ne peine pas s'il te plait à les écouter
bien a vous danseur tropicaux vous devançez la nuit dans vos cocons de glace

et fendez l'atmosphere de vos ebats volants

j'identifie en vous la rage et la passion et vous demande de rire au prochain coup de semonce
Fulmines enfant du desespoire et crache ta haine dans le chaudron bouillant d'une rage naissante tu y feras ta tache et ton labeur sans cesse

et donneras à voir quelle est ta grandeur propre

ne donne pas vermines alentour les chaires pour qu'ils y plantent leurs crocs visqueux et malhabile

donne plutot à ses rustres une raison de se taire et d'oublier ton nom au temps des étalages publique

a ce moment cache ton etre tout entier sous l'humus

enterres    à  cet endroit le sacre et l'ndiscible

pour que nul ne prononce les sons qui invoqueront ta personnes au temps du tumulte

et pense a polir la tunique que l'inspectrice en chef t'as "gentillement prêtée"
c'est dans la cage que se crée le "besoin" (dont tu t'allège sans complexe...)

dans l'isolement le besoin de parler

et sous l'effet de la crainte que parlent les pantins

tu diriges ton pas comme un brodeur sans cervelle qui coud son   poigné   dans la trame arabèsque

et fait couler le sang de ses doigts gourds et fins
il existe un moyen de concretiser tes envies et tu le sais bien au chaud dans ta piece moltonée

tu eclipse chaque pensée qui pourrai te faire l'espace d'un instant prendre conscience du vide qui se derobe sous tes pas, ta vie qui fou le camp

ce moyen t'en donne la clef c'est d'aller ta route ailleur

Légumes !
ayant perdu en vol la sphere et son contenu j'ai erré sur la rive les yeux fixés sur le flux et le reflux m'a rendu à moi.

Oui je me souvien maintenant la voie que je m'etait fixé, le but que j'ai souhaité ateindre et je m'y tiendrai:

revoir les femmes vertes c'est un projet réalisable je n'en doute pas

meme si pour ce faire je devrai braver certains interdits, subir les humiliations primaire des incrédules et leurs insultes basses au passage

mais ce n'est rien a coté de cette réalité cher à mon coeur que je vais devoir l'espace d'un temps indéterminée abandoner à regret donc vous l'aurez sans doute compris

soit votre vision de ma personne est pejoré

soit vous ne nourrissez que haine à mon endroit

mais j'en est tout autant et davantage pour les acrobates qui m'on ravis isabella l'on emenée ailleur chez les papous

je la retrouverai j'en suis persuadé chez les femmes vertes comme j'ai deja tenté d'y aller (cf "code de conduite")

bon je retourne sur le mat pour guetter la venue de qui vous savez...

car il nous faut subir pour mieu aller de l'avant trainant sa carcasse molle sur le bitume gelé

la souffrance on connait on est passé par là et les anciens vous le dirons eux qui l'on vécu dans la chaire et les entrailles

nous au rebut notre seul pouvoir est de consommer

de se vanter

d'en etaller dans tous le sens de la longeur

quel vanité

c'est à pleurer mais releves la tête.
j'etait donc a l'aise sur un "alchimique" bateau de 20 pieds de tiran d'eau et l'inspectrice en chef  a saisi ma nuque pour y planter "l'extracteur de pensées"

pretextant vouloir me soigner....

mais je sais moi a quoi m'en tenir

cet appareil sert en fait aoctroyer a qui l'on veut ses sources de vie, soi moelle de pensées, en un mot sa fecondité verbale

et moi j'ai dejoué le piege en trouvant l'antidote

je peu donc continuer a gratter là ou il faut

elle a plonger la substance obtenue dans un chaudron de metal en fusion et en a confectionné une tige en métal

la fameuse tige

voila c'est tout ni haine ni douleur

je n'eprouve en générale que sympathie et amour pour les gens d'ici à peine teinté d'agacement quand vers le commun convergent toutes les analyse et la façont dont entre eux les avares se complimente
"Lean out your window, golden hair
I heard you singing in the midnight air "

jojo


sympatiques images
"Lean out your window, golden hair
I heard you singing in the midnight air "

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